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Vous avez dit lâcher prise ?

Photo du rédacteur: Elodie VaxelaireElodie Vaxelaire

Lâcher prise, lâcher prise, lâcher prise… C’est presque devenu un leitmotiv, on en parle partout, chacun y va de son conseil, de sa recette de lâcher prise.


Un problème avec ton chef au boulot ? Tu n’as qu’à lâcher prise. Un craquage pendant le confinement en mode super maman qui gère son télétravail et l’école des enfants et la gestion de la maison et n’en peut plus ? Le lâcher prise. Deux heures de bouchon ou de panne dans les transports au retour du boulot ? Le lâcher prise.


Mais pourquoi un tel engouement ? Et d’abord, ça veut dire quoi lâcher prise ?


Au départ, cette notion arrive d’Inde, des retraites en Ashrams dans les années 70, où les maîtres spirituels hindouistes apprenaient à leurs élèves occidentaux à cesser de vouloir tout contrôler et à accepter progressivement les événements qui leur arrivent, qu’ils soient bons ou mauvais.


Depuis, l’expression s’est « laïcisée », elle n’est plus liée à un mouvement spirituel mais elle évoque une faculté à se déposer, à « rendre les armes », à ne plus vouloir tout contrôler dans sa vie, et notamment pas l’incontrôlable…


C’est bien beau tout ça mais concrètement comment on fait ?


D’abord, identifier ce qui est de notre responsabilité, et ce qui ne l’est pas. En gros, ce que je peux modifier dans ma vie, et ce que je ne peux pas modifier.




Le dessin qui illustre ici est plutôt très explicite. Je ne peux pas contrôler la météo, le futur, les injustices dans le monde, les décisions des autres, la vie des autres, ce que les autres pensent de moi, les virus, la maladie… ni même le flux de ma connexion wifi ;o).


Par contre, je peux contrôler et modifier mes pensées, la manière dont je réagis, ce que je dis aux autres, ce que je fais dans ma vie, mes idées, ma manière de voir les choses.


Prenons l’exemple d’une personne qui ne supporte pas d’être en retard et qui va s’énerver et exploser chaque fois qu’elle se retrouve dans un bouchon ou dans un RER en retard (situation assez fréquente dans le coin, non ?). Est-ce que sa colère va lui permettre d’arriver plus vite à destination ? Rendre son trajet plus confortable ? Ou au contraire rendre son trajet plus éprouvant physiquement, faire monter sa tension artérielle, la faire arriver en vrac à son RDV et risquer de provoquer des heurts avec les personnes autour d’elle ?


Imaginons qu’une autre personne se retrouve dans le même bouchon, et se rend compte qu’elle aura le même retard. Après avoir pris une grande inspiration et expiration, elle intègre ce retard dans son emploi du temps. Elle prévient les personnes auprès de qui elle doit arriver. Puis elle profite du temps dégagé pour lire un livre, écouter son podcast préféré, regarder le paysage, ou prendre quelques minutes de méditation.


On voit bien dans cet exemple que deux personnes subissant la même situation ne la vivront pas du tout de la même manière. L’une va s’énerver, et risquer de détériorer progressivement sa santé si cette colère est un mode de fonctionnement constant, l’autre va simplement profiter d’un événement imprévu pour faire quelque chose de différent et de sympa dans sa journée.


Voilà ce que permet un mode de vie qui intègre du lâcher prise. Retrouver de l’énergie, s’adapter facilement aux imprévus de la journée, laisser tomber les petits ou grands énervements, gagner de la disponibilité d’esprit et de la qualité de vie.


Mais lâcher prise ne se décrète pas.

Au-delà de la prise de conscience, le lâcher prise a besoin d’être intégré dans son corps, physiquement et émotionnellement.


Apprendre à souffler. A relâcher ses tensions.

A accueillir ses émotions et à les laisser passer plus rapidement. Reconnaître par exemple les prémices de ses énervements, et savoir comment les laisser repartir.

Décharger son mental de ses idées en boucle, faire de la place pour intégrer du positif.

Et progressivement ne plus se laisser emporter par ses colères contre ce qu’on ne peut pas changer, pour regagner de l’énergie et agir sur ce qu’on peut changer.


C’est tout l’intérêt d’une cure de relaxation. Elle va permettre en une dizaine de séances, parfois moins parfois plus, de mieux comprendre et accueillir ses émotions, de savoir dénouer ses tensions et relâcher son corps, et de regagner de l’énergie pour sa vie.


Chaque cure est conçue selon les objectifs propres de chaque personne, et intègre des pratiques issues d’un panel très varié d’outils : relaxation, sophrologie, auto-hypnose, cohérence cardiaque, yoga, médiation, danse, sport, dessin…


A la clé, une meilleure compréhension de ce qui vous donne et ce qui vous enlève de l’énergie, des réflexes qui s’intègrent à votre vie pour relâcher vos tensions, et une nouvelle manière de voir la vie.


Alors, si vous aussi vous avez envie de lâcher prise, le rdv est ici clic clic.

 
 
 

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